Si Belleville révèle toutes le cuisines du monde, une des meilleures surprises se révèle être la cuisine colombienne du Mukura.
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Mois : avril 2011
Danone Communities one more time.
28 avril 2011, nous étions présents à l’assemblée de Danone Communities pour la seconde fois et avons été frappé comme l’année précédente par l’innovation, l’impact et l’adhésion que ces projets déclenchent.
LE KD : le terroir à Belleville
Reculé, isolé, un peu plus cher que ses concurrents (menu à 13 €), ce bistro est une de nos adresses préférées et pas seulement à cause de sa terrasse.
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Lao Siam : épicé à tout point de vue
Ce restaurant est l’un des plus connus du quartier et chacun a son avis tranché :
– soit fan pour sa carte très extralarge (thaï, laosienne, chinoise, vietnamienne) : barquette d’or, crabe farci, poisson cuit dans les feuilles de bananier et finement épicée
– soit réfractaire par rapport au bruit et au service pas systématiquement souriant/empressé
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Cyclo : exigüe goûtu
Bo Bun, TomBun, crêpes demi-lune y sont aussi délicieux que les desserts à la banane ou les crêmes caramel à la mangue. Les serveurs sont souriants, sympas et énigmatiques mais efficaces. Ce vietnamien lilliputien est très vite plein alors réservez.
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L’illiade : un grec sans dette
Entre bistrots tradi, turcs, chinois qui font du chinois/vietnamien/, cet unique grec du quartier fera voyager vos papilles et la délicatesse des plats du menu (13 €) fera oublier le décor tristoune. Les gros mangeurs diront que çà cale moins qu’un sandwich grec, les petits que c’est fin.
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Trianon : de père en fils
Ancien rade à l’ancienne ; le bar a été repris par le fils du boss qui a tout refait pour gagner en modernité et branchitude. Résultat, le charme s’est perdu, la cuisine est décevante et le service sans plus. On y retournera un soir pour gouter les cocktails que nous ne nous autorisons pas le midi.
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Chez Yu : viêtement bon
Cantine vietnamienne rikiki et remplie d’habitués pour des plats traditionnels : bobums, phô, bœuf lok lak ou le menu midi, à moins de 10 €. Décor spartiate, service ultra-rapide, les plats sont extrêmement goûtus (proches en tout cas de ceux de la maman de Thomas, notre DA d’origine vietnamienne qui aime sa maman et sa cuisine).
Métro : plus souriant que les contrôleurs
La salle est toujours pleine dans ce bistrot old school et plein de charme ; les tenanciers arriveront toutefois à dénicher une table in extremis. Et pour un menu à 11 €, vous aurez le choix parmi une vingtaine d’entrées et de plats (bœuf bourguignon, entrecôte sauce foie gras, cassoulet…).
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Mistral : terrasse cachée et ombragée
Un des menus le moins cher du quartier : 10,5 €. L’entrée est très simple et express et le plat principal (sauté de veau à la provençale, agneau au curry, endives au jambon) est copieux et réussi. Habité de ce bistrot auvergnat ou non, les serveurs seront à votre écoute.
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Sur les quais : chouette rade de quartier
Le vieux zinc du début du siècle n’accueille plus de marins mais vous permet de déguster un picon citron dans une ambiance très sympa.
Le menu du midi (12 €) est correct avec des entrecôtes
Le service sympa et express.
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Cantine de St maur : on préfère manger à la cantine
Votre budget ne dépasse pas 12,5 € et que vous souhaitez malgré tout vous régaler, courez à la Cantine de St Maur pour être sûr d’y trouver une table.
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Délices de Bangkok : Thai XXL
Si vous souhaitez déguster le maximum de plats thaï (des classiques poulets curry ou nouilles sautées) jusqu’à de plus audacieuses omelettes au poisson ou moules farcies, le Délice Bangkok vous surprendra agréablement.
20 ans après.
C’est bien sûr la suite des 3 mousquetaires de Dumas mais c’est aussi le projet épatant de Irina Werning, Back to the future.
Cette photographe argentine reproduit des clichés à l’identique 20 après et avec le ou les mêmes protagonistes.
La marque dans la peau.
Le rêve de toute marque est de fidéliser ses clients à vie. Le rêve de tout consommateur est-il de les vénérer au point de se faire tatouer leur marque préférée ?