Spritz, what’s next ?

Si vous commencez à être lassé par des cocktails orangés qui monopolisent les verres et les terrasses des cafés depuis l’arrivée des beaux jours, découvrez avec nous 5 cocktails ou catégories qui pourraient détrôner notre fameux Spritz.

Pour la première alternative, ne prenons pas de risque et misons sur une déclinaison du produit gagnant : le Spritz blanc ou Ugo Spritz. Il est simple à réaliser avec un nouvel ingrédient quasi inconnu. Vous conservez le Prosecco et l’eau pétillante et remplacez le Campari par de la liqueur Saint Germain (à la fleur de sureau). Vous gagnez en originalité, obtenez une boisson de couleur opale. Le goût peut être plus subtil car le Saint Germain est une liqueur conçue à partir de fleurs sauvages.
Pour découvrir cette liqueur : https://www.stgermain.fr/#

Alternative 2, surfons sur la vague des produits sans paraben, gluten, lactose pour et penchons-nous sur les cocktails sans alcool ou presque. Ces cocktails moins forts en alcool intéressent bartenders et marketeurs qui leur déterminent cette catégorie avec de multiples dénominations : « low ABC », « mocktail « ou « virgin cocktail ». Moins onéreux, ils mettent à l’honneur des produits maison ou des combinaisons osées. Dans un bar près du bureau, le cocktail qui monte est un mélange de jus de roquette, lait de coco et pointe de vinaigre. Sur ce segment, un nouvel parfum va certainement tirer son épingle du jeu avec des arguments santé: le kombucha.
https://www.biogroupe.com/fr/karma/#kombucha

L’option trois, c’est le slush wine. C’est une sorte de granité au vin : un mélange rouge ou blanc avec du jus de fruit ou un autre alcool sirupeux et du sucre. Vous planquez cette mixture quelques heures au congélo, laissez fondre un peu (slush signifie détrompé) avant de verser dans les verres avec des petits morceaux de fruits givrés également.

La quatrième alternative nous séduit un peu plus. il s’agit d’importer un succès de l’étranger. Dans plusieurs pays anglo-saxons, ce succès s’appelle le Pims. Cette marque de liqueur anglaise ancestrale est incontournable à Wimbledon, lors de courses de chevaux et sur les réseaux avec de nombreux hashtags : #pimmsoclock et #pimmscup. Réalisé selon la légende avec du gin et une macération de fruits et d’écorce d’orange, elle se mélange avec de la limonade et surtout toutes sortes de fruits et légumes : concombre, menthe, fraise, pomme et orange.

Pour le cinquième acte, nous redonnons une chance aux marques de mamy.
Elles le méritent et font des efforts pour revenir sur le devant de la scène via l’usage de cocktails. Nostalgie, appétence du vintage et goût amer remis à la mode grâce au Spritz redonnent vie à Saint Raphaël,  Ambassadeur ou Suze. Marie Brizard s’est ainsi relancée dans les bars branchés avec le Marie zest conçu avec de l’anisette, du citron vert et du tonic.

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